dimanche 13 août 2023

Nouvelle - 20 - Faits divers

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La main aux fesses

Sous la chappe

Et elle épousa son violeur

Un ver dans la tête

Les toilettes, les nouveaux centres culturels.


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Mercredi 13 août 2014


La Main aux Fesses   

 

     Un homme de 39 ans a été condamné, lundi 11 août, à neuf mois de prison ferme par le tribunal correctionnel d'Angers (Maine-et-Loire) pour avoir mis la main aux fesses d'une fonctionnaire de police.

 

     Le substitut du procureur avait requis 2 ans de prison ferme, indique Le Courrier de l'Ouest.

 

    Les faits datent du 11 juin : l'incident s'était déroulé dans l'enceinte d'un centre commercial de Cholet. Si la policière était habillée en civil et en pantalon et n'était pas en service, son agresseur, déjà condamné à quatre reprises pour des agressions sexuelles similaires, savait à qui il s'attaquait. 

 

    " Il avait eu plusieurs fois affaire avec elle et l'avait reconnue, il ne l'a pas nié ", a confirmé Céline Tavenard, l'avocate du prévenu.

 

    Père de famille, l'homme a vu s'ajouter à sa condamnation un suivi socio-judiciaire de cinq ans assorti d'une injonction de soins et la révocation d'un sursis de six mois auquel il avait été condamné dans une affaire similaire, selon le journal local.                                                               

 

         C'était en juin, il faisait chaud, ça sentait bon le sable chaud, elle avait la croupe avenante, et lui, les mains bien élevées et caressantes, qui se tendirent et s'avancèrent vers les fesses de la dame sûre de son bien mais pas prêteuse, et les fesses ne dirent pas non aux mains avantageuses qui engagèrent la conversation, mais la dame n'apprécia pas, elle dégonfla, effaça et donc minimisa sa croupe dans son pantalon, et lui penaud, rentra les mains dans les poches de son pantalon.

 

       Il comprit mais un peu tard, que l'on doit toujours mettre les mains dans ses poches et non les mains aux fesses, que si les nez sont faits pour porter des lunettes, les fesses ne sont pas faites pour que l'on y mît la main.

 

              " Monsieur le président, mon client soutient que madame faisait des ronds de jambes avec sa croupe en cul-de-poule. " défendit l'avocate. Le président du tribunal ne goûta pas l'argument.

 

      Neuf mois de prisons ferme.

 

   Messieurs ne mettez pas la main aux fesses des dames, ne pincez pas les fesses des dames, ça ne se fait pas, elles n'aiment pas et elles rapportent, Mesdames ne provoquez pas les mains câlines des hommes, ne dodelinez plus innocemment de la croupe et rentrez vos fesses.


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   Une mineure avait été contrainte d'épouser l'homme qui l'avait violée l'an dernier. Son mari l'a violemment agressée parce qu'elle venait de demander le divorce, ont rapporté, mardi 11 novembre 2014, des médias marocains. 

" Je te jure que personne ne t'épousera après moi", aurait clamé l'agresseur, d'après plusieurs médias.

" Forcée d'épouser son violeur " il y a un an, Khaoula, 17 ans, a été agressée, samedi, à Marrakech, à l'aide d'une " lame de rasoir " après avoir " demandé le divorce ", selon le site de l'hebdomadaire Tel Quel, qui cite un responsable local de l'Association marocaine des droits humains (AMDH). 

     Selon la même source, elle a été hospitalisée et souffre " de multiples entailles ", qui l'ont " défigurée " et ont nécessité une quarantaine " de points de suture "

      Dans un reportage sur la chaîne nationale Al-Oula, un médecin de l'hôpital Ibn Tofail de Marrakech explique que la victime a reçu " une cinquantaine de coups au visage et une vingtaine sur ses mains et ses bras "

  Ce fait divers rappelle une affaire qui avait suscité l'émoi dans le monde entier : le suicide, en mars 2012, de la jeune Amina Filali. Agée de 16 ans, elle avait été contrainte d'épouser l'homme qui l'avait violée. A la suite de cette polémique, le Parlement a amendé, en janvier dernier, l'article 475 du Code pénal, qui permettait jusque-là à un violeur d'échapper aux poursuites en épousant sa victime mineure.

   Les parlementaires ont en revanche échoué jusque-là à voter une loi visant à restreindre ou à interdire le mariage des mineures. Les militants des droits des femmes réclament l'interdiction des dérogations permettant le mariage des mineures, qui a atteint 35 000 cas en 2013 contre moins de 20 000 dix ans plus tôt.

   Dans leur combat, ils s'appuient sur les acquis de la Constitution de 2011, adoptée durant le Printemps arabe, qui consacre l'égalité des droits et exhorte l'Etat à œuvrer à la parité. 

   Le gouvernement emmené par les islamistes du Parti de la justice et du développement (PJD) est pour sa part favorable à une interdiction du mariage pour les seules mineures de moins de 16 ans.

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Coulé dans le béton       

       Père de 4 enfants, il avait disparu le matin du 6 août 2014 du quartier de Saint-Simon à Toulouse. Sa compagne avait affirmé qu'il n'était plus à leur domicile quand elle était revenue de déposer les enfants au centre de loisirs. Il avait disparu sans prendre de véhicule, sans emporter de téléphone portable, ni son portefeuille, à l'exception de sa carte nationale d'identité et d'une carte de fidélité d'une enseigne de supermarché.

   Sa famille, soeur, parents, avait mis en place un numéro d'appel spécial pour recueillir des témoignages. 

     Après les interrogatoires de plusieurs membres de la famille la semaine dernière, une perquisition a eu lieu jeudi 20 novembre au domicile du couple et le corps a été découvert. Placée en garde à vue, la compagne, âgée de 27 ans, aurait avoué le meurtre. Le corps de la victime a été retrouvé coulé dans du béton dans les combles de la maison.

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Source; Info France 3 MIDI-PYRENEES 

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Un ver et bonjour les dégâts

       Il se déplaçait d'un côté à l'autre de sa tête, depuis quatre ans. Un ver d'un centimètre a été extrait du cerveau d'un Britannique de 50 ans qui était allé consulter son médecin pour des maux de tête, révèlent des scientifiques, vendredi 21 novembre 2014. Il s'agit d'un Spirometra erinaceieuropei.

    C'est la première fois qu'un tel parasite est découvert au Royaume-Uni. Depuis 1953, seuls 300 cas ont été enregistrés dans le monde. Ce ver provoque une inflammation des tissus et, s'il atteint le cerveau, des pertes de mémoire et des maux de tête. Sa rareté le rend mystérieux aux yeux des scientifiques, qui ignorent son cycle de vie. Il est censé s'attraper en consommant de petits crustacés infectés des lacs chinois, de la viande de reptile et d'amphibiens crue, ou en usant de cataplasmes de grenouille, un remède chinois pour calmer les inflammations des yeux.

   " Nous ne nous attendions pas à découvrir une infection de  ce genre au Royaume-Uni, mais avec le développement des voyages, ce genre de parasites inconnus apparaît parfois", explique Effrossyni Gkrania-Klotsas, du service des maladies infectieuses de l'hôpital Addenbrooke à Cambridge, qui a retiré le ver. Le parasite a été donné à des généticiens du Wellcome Trust Sanger Institute de Cambridge, qui ont réussi à séquencer son génome pour la première fois, leur permettant d'étudier des traitements potentiels.

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Que fait-on aux toilettes sur son lieu de travail ?

Etonnant ! Sur le lieu de travail, les toilettes servent souvent de refuge pour envoyer des textos, lire, se détendre ou même dormir... en toute discrétion.

Flora Genoux | Publié le 22.11.2014, 08h26



Enfin, la porte est close ! Et, surprenant, ce que certains décident alors d'y accomplir peut s'écarter des usages habituels, révèle une récente étude SCA-Care for Life* qui se penche pour la première fois sur la thématique très peu explorée des toilettes sur le lieu de travail. Ainsi, 15 % des personnes interrogées avouent s'y enfermer pour téléphoner, 12 % pour envoyer des textos quand d'autres décident de s'y précipiter pour craquer, faire une pause, dormir quelques minutes, manger ou même.

.. s'adonner à un peu de gymnastique !


« C'est le seul lieu d'intimité dans l'entreprise, analyse Pierre-Yves Gomez, auteur du Travail invisible (Ed. François Bourin). Ce sont des comportements qui doivent davantage toucher ceux qui travaillent en open space, un lieu où l'on est toujours entendu. Se rendre aux toilettes permet de changer de registre. »

 



« Il m'est arrivé d'y aller pour pleurer », confie Louise**, salariée dans le service public. La raison de son dernier rush pressant pour les WC au travail ? « Je me suis pris le bec avec ma supérieure : elle voulait travailler les volets fermés et la fenêtre ouverte, et moi le contraire. Elle m'a fait une réflexion que j'ai prise comme une injustice et je suis partie craquer, raconte-t-elle. Mais pleurer devant les autres, ça aurait été inconcevable, au travail il faut faire bonne figure ! » Alice, 61 ans, s'est souvent rendue au petit coin pour sortir le mouchoir. « J'y ai trouvé refuge de temps à autre quand j'avais un problème avec une supérieure qui me rendait la vie impossible », se souvient cette jeune retraitée qui partageait son bureau avec deux autres collègues. Une fois le verrou fermé, Alice a aussi pu passer de longues minutes à effectuer des exercices de respiration. « Une fois qu'on repart, c'est comme un tremplin, on passe à autre chose », analyse-t-elle.


« Pour les 7 % qui y ont déjà mangé, par exemple, cela peut s'interpréter par un environnement de travail de plus en plus rapide où il faut tout faire en même temps », remarque Marc Specque, porte-parole de la société SCA, qui a piloté l'étude. Jamais une seule minute pour souffler alors qu'il prépare les bûches de Noël dans la boulangerie où il est alors employé, Miguel se rappelle s'être assis, exténué, sur la cuvette fermée des toilettes. « J'ai piqué du nez pendant dix minutes, ce sont des collègues qui sont venus me chercher », sourit ce trentenaire qui avoue pianoter régulièrement sur son portable ou surfer sur Facebook dans les WC de son lieu de travail, « quand il sait qu'il en a pour un moment », spécifie-t-il pudiquement. D'autres en profitent pour tranquillement lire leur quotidien préféré.


« Mais ces usages peuvent aussi révéler des entreprises qui font la part belle au bien-être avec des douches et des installations sportives : 8 % des Français admettent s'être déjà lavés aux toilettes du travail », poursuit Marc Specque. Si le sujet ne sera sûrement pas évoqué par les Français lors des entretiens annuels de décembre avec leur supérieur hiérarchique, près de la moitié d'entre eux souhaiteraient pourtant que leur employeur consacre plus d'effort... à l'entretien des toilettes.


* Groupe international du secteur de l'hygiène et de la forêt, enquête réalisée en 2014 sur un total de 13 492 répondants dans 13 pays.

** Les prénoms ont été changés.

Le Parisien

Faire une pause pipi, mais pas seulement. Aller aux toilettes sur son lieu de travail peut servir à plein d'autres activités, révèle une étude d'un groupe spécialisé dans l'hygiène, SCA-Care for Life, reprise par Le Parisien samedi 22 novembre. Ainsi, beaucoup s'y réfugient pour manger, se maquiller, avoir une conversation en tête à tête ou prendre une pause pour pleurer.

D'après l'enquête, 15% des personnes interrogées avouent téléphoner alors qu'ils se trouvent sur le trône. Dans le trio de tête des activités originales ayant cours au petit coin, on trouve aussi envoyer un texto pour 12% des sondés ou tout simplement faire une pause comme l'expliquent 11% des personnes interrogées. 

"C'est le seul lieu d'intimité dans l'entreprise. Ce sont des comportements qui doivent davantage toucher ceux qui travaillent en open space (...) Se rendre aux tolettes permet de changer de registre", explique Pierre-Yves Gomze, auteur du Travail invisible et cité par le quotidien. 

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Dans l'obscurité, seul, au fond d'un puits. En Australie, un nouveau-né a survécu cinq jours, selon la police, avant d'être retrouvé, dimanche 23 novembre, au fond d'un fossé de drainage profond de 2,50 mètres et fermé d'un couvercle en béton.

      Des cyclistes alertés par des cris ont découvert le bébé dans ce puits de drainage des eaux, en bordure d'une piste cyclable, à l'ouest de Sydney. Plusieurs personnes ont dû réunir leurs efforts pour parvenir à déplacer le couvercle de béton. Ils ont retrouvé le nourrisson, un petit garçon, au fond du puits. Il était enveloppé dans une couverture d'hôpital et son cordon ombilical était clampé.

Des températures de 40°C


    La police a passé plusieurs heures à passer au peigne fin les services des admissions hospitalières et à frapper aux portes avant d'interpeller la mère de 30 ans. Celle-ci a été placée en détention provisoire. La police a annoncé qu'" une femme a été inculpée de tentative de meurtre après la découverte d'un nouveau-né dans une canalisation dimanche. (...) La police estime que le bébé, né lundi, a été placé dans la canalisation mardi 18 novembre".

     Il est peu vraisemblable qu'il aurait pu survivre beaucoup plus longtemps alors que les températures ont grimpé à 40°C dimanche à Sydney. " Il souffrait déjà de malnutrition et la déshydratation aurait fait son œuvre ", a déclaré un policier.

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Ils s'aimaient 

     Un octogénaire s'est donné la mort dimanche matin dans un hôpital de Boulogne-Billancourt ( Hauts-de-Seine ) après avoir tué d'une balle son épouse hospitalisée pour un cancer incurable, a-t-on appris auprès de l'Assistance publique-Hôpitaux de Paris (AP-HP).

      Selon les premiers éléments de l'enquête, l'homme, âgé de 84 ans, aurait apporté une arme à feu dans la chambre de l'établissement qu'il a retournée contre lui après avoir tué sa femme de 82 ans, probablement dans son sommeil.

     " Le personnel soignant a entendu vers 11H30 du bruit et a découvert les deux corps inanimés ", a expliqué à l'AFP le professeur Laurent Teillet, chef du service gériatrie de l'hôpital Ambroise-Paré.

      Aucune lettre n'a été découverte pour expliquer ce geste, mais le couple semblait déterminé à en finir. Les époux, mariés depuis de nombreuses années, avaient déjà tenté de se suicider il y a deux semaines, en absorbant des médicaments et avaient été hospitalisés à Ambroise-Paré. Le mari était rentré chez lui depuis quelques jours, tandis que sa femme était restée à l'hôpital en soins palliatifs.

        Ce drame renvoie à celui qui s'était déroulé il y a tout juste un an, dans la nuit du 21 au 22 novembre 2013, quand un couple d'octogénaires s'était donné la mort dans un grand hôtel parisien. Baptisés " les amants du Lutetia " , les époux, âgés de 86 ans, avaient mis fin à leurs jours en dénonçant dans une lettre l'absence de loi permettant de mourir sereinement, un geste qui avait ravivé le débat sur le droit à mourir dans la dignité.

24/11/2014 10:23:31 - Boulogne-Billancourt (AFP) - © 2014 AFP

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